Titre : | SPONDYLODISCITES –DISCECTOMIE-HERNIEDISCALE-INFECTION POS TOPERATOIRE. | Type de document : | thèse | Auteurs : | NOURA BEN DRISS, Auteur | Année de publication : | 2010 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | SPONDYLODISCITES DISCECTOMIE HERNIEDISCALE INFECTION POS
TOPERATOIRE. | Index. dĂ©cimale : | WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE | RĂ©sumĂ© : | Introduction : Les spondylodiscites postopératoires sont très rares. Elles surviennent dans 0 à 3 % des cas. C'est une affection grave qui nécessite un diagnostic précoce et un traitement adapté. Elle peut être responsable de séquelles fonctionnelles. Nous avons observé 3 cas de spondylodiscite postopératoire durant une période de 9 ans.
Matériel et méthodes : Il s'agit de 2 hommes et une femme âgés respectivement de 31, 59 et 46 ans. Tous les patients ont été opérés pour une hernie discale lombaire. L'étage L4-L5 a été noté dans 2 cas et L5-S1 dans un cas. La symptomatologie clinique s'est déclarée respectivement au 3ème, 7ème et 13ème jour après l'intervention. Deux patients présentaient une récidive d'hernie discale lombaire. Les 3 ont présenté un syndrome rachidien intense et un syndrome radiculaire. Le bilan biologique a montré un syndrome inflammatoire dans les 3 cas. L'IRM lombaire a révélé des signes évocateurs de spondylodiscite postopératoire. Un seul patient présentait en outre un abcès paravertébral associé.
Résultats : Deux patients ont été réopérés pour parage et lavage du foyer opératoire. A l'examen bactériologique, les germes isolés étaient un Escherichia Coli et un staphylocoque. Tous les patients ont bénéficié d'une antibiothérapie, une immobilisation et une rééducation fonctionnelle. L'Oxygénothérapie HyperBarre a été réalisée chez un seul patient. L'évolution a été favorable dans les 3 cas avec amélioration clinique, mais avec cependant la persistance de lombalgies résiduelles.
Conclusion : Cette affection handicapante nécessite un diagnostic précoce qui doit être suspecté cliniquement et confirmé par l'IRM. Le traitement médical ou médico-chirurgical doit être instauré rapidement pour éviter des séquelles douloureuses
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1342010 | Président : | MOHAMMED BOUCETTA | Directeur : | MILOUDI GAZZAZ | Juge : | JAAFAR ALAOUI | Juge : | HASSAN BOUMDIANE |
SPONDYLODISCITES –DISCECTOMIE-HERNIEDISCALE-INFECTION POS TOPERATOIRE. [thèse] / NOURA BEN DRISS, Auteur . - 2010. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | SPONDYLODISCITES DISCECTOMIE HERNIEDISCALE INFECTION POS
TOPERATOIRE. | Index. dĂ©cimale : | WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE | RĂ©sumĂ© : | Introduction : Les spondylodiscites postopératoires sont très rares. Elles surviennent dans 0 à 3 % des cas. C'est une affection grave qui nécessite un diagnostic précoce et un traitement adapté. Elle peut être responsable de séquelles fonctionnelles. Nous avons observé 3 cas de spondylodiscite postopératoire durant une période de 9 ans.
Matériel et méthodes : Il s'agit de 2 hommes et une femme âgés respectivement de 31, 59 et 46 ans. Tous les patients ont été opérés pour une hernie discale lombaire. L'étage L4-L5 a été noté dans 2 cas et L5-S1 dans un cas. La symptomatologie clinique s'est déclarée respectivement au 3ème, 7ème et 13ème jour après l'intervention. Deux patients présentaient une récidive d'hernie discale lombaire. Les 3 ont présenté un syndrome rachidien intense et un syndrome radiculaire. Le bilan biologique a montré un syndrome inflammatoire dans les 3 cas. L'IRM lombaire a révélé des signes évocateurs de spondylodiscite postopératoire. Un seul patient présentait en outre un abcès paravertébral associé.
Résultats : Deux patients ont été réopérés pour parage et lavage du foyer opératoire. A l'examen bactériologique, les germes isolés étaient un Escherichia Coli et un staphylocoque. Tous les patients ont bénéficié d'une antibiothérapie, une immobilisation et une rééducation fonctionnelle. L'Oxygénothérapie HyperBarre a été réalisée chez un seul patient. L'évolution a été favorable dans les 3 cas avec amélioration clinique, mais avec cependant la persistance de lombalgies résiduelles.
Conclusion : Cette affection handicapante nécessite un diagnostic précoce qui doit être suspecté cliniquement et confirmé par l'IRM. Le traitement médical ou médico-chirurgical doit être instauré rapidement pour éviter des séquelles douloureuses
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1342010 | Président : | MOHAMMED BOUCETTA | Directeur : | MILOUDI GAZZAZ | Juge : | JAAFAR ALAOUI | Juge : | HASSAN BOUMDIANE |
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