Titre : | PALUDISME GRAVE CHEZ LA FEMME ENCEINTE (A PROPOS D’UN CAS AVEC REVUE DE LA LITTERATURE). | Type de document : | thèse | Auteurs : | MOHAMMED SAID BOUYA, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2012 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | PALUDISME GRAVE FEMME ENCEINTE PLASMODIUM FALCIPARUM. | RĂ©sumĂ© : | La grossesse accroit le risque et la sévérité du paludisme. Gravité pour la mère certes, mais gravité surtout pour l’enfant. Les conséquences peuvent être lourdes, l’anémie et l’hypothermie perturbant les échanges placentaires et aggravant le pronostic fœtal. L’atteinte placentaire est d’ailleurs élevée au cours du paludisme surtout avec le Plasmodium falciparum. Le paludisme néonatal est en revanche rare.
La physiopathologie du paludisme grave chez la femme enceinte peut être expliquée par le phénomène de cytoadhérence notamment l’intervention du récepteur Chondroïtine sulfate A (CSA).
La symptomatologie est généralement commune avec un grand nombre de pathologies infectieuses également fréquentes chez la femme enceinte.
L’importance d’un traitement rapide et adapté en réanimation est primordial. La gamme des molécules utilisables est très limitée du fait de la fœtotoxicité et de l’émergence de souches résistantes de Plasmodium falciparum. La Quinine reste donc l’arme principale.
La prophylaxie chez la femme enceinte est également de première importance, choisie en fonction des zones géographiques et de possibilité d’emploi des antipaludiques.
Nous rapportant l’observation d’une patiente enceinte de 05 mois hospitalisée au service de réanimation de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat pour paludisme grave après retour d’une zone d’endémie (Iles Comores).
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1782012 | Président : | BAITE.A | Directeur : | SIAH.S | Juge : | MIMOUNI.B | Juge : | MESSAOUDI.N |
PALUDISME GRAVE CHEZ LA FEMME ENCEINTE (A PROPOS D’UN CAS AVEC REVUE DE LA LITTERATURE). [thèse] / MOHAMMED SAID BOUYA, Auteur . - 2012. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | PALUDISME GRAVE FEMME ENCEINTE PLASMODIUM FALCIPARUM. | RĂ©sumĂ© : | La grossesse accroit le risque et la sévérité du paludisme. Gravité pour la mère certes, mais gravité surtout pour l’enfant. Les conséquences peuvent être lourdes, l’anémie et l’hypothermie perturbant les échanges placentaires et aggravant le pronostic fœtal. L’atteinte placentaire est d’ailleurs élevée au cours du paludisme surtout avec le Plasmodium falciparum. Le paludisme néonatal est en revanche rare.
La physiopathologie du paludisme grave chez la femme enceinte peut être expliquée par le phénomène de cytoadhérence notamment l’intervention du récepteur Chondroïtine sulfate A (CSA).
La symptomatologie est généralement commune avec un grand nombre de pathologies infectieuses également fréquentes chez la femme enceinte.
L’importance d’un traitement rapide et adapté en réanimation est primordial. La gamme des molécules utilisables est très limitée du fait de la fœtotoxicité et de l’émergence de souches résistantes de Plasmodium falciparum. La Quinine reste donc l’arme principale.
La prophylaxie chez la femme enceinte est également de première importance, choisie en fonction des zones géographiques et de possibilité d’emploi des antipaludiques.
Nous rapportant l’observation d’une patiente enceinte de 05 mois hospitalisée au service de réanimation de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat pour paludisme grave après retour d’une zone d’endémie (Iles Comores).
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1782012 | Président : | BAITE.A | Directeur : | SIAH.S | Juge : | MIMOUNI.B | Juge : | MESSAOUDI.N |
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